En ligne depuis quelques jours, la plateforme Afkar Mostakella vient bousculer la façon d’appréhender la politique. Entre think tank, réseau social, boite à idées, le site de Fares Mabrouk, initiateur du projet, présente Afkar comme un projet basé sur l’intelligence collective.
Nacer Talel, un des membres de l’équipe, voit plutôt Afkar comme une sorte de Facebook politique avec ses qualités, mais aussi avec ses limites. Le site permet d’ailleurs aux internautes, via le réseau social, d’interagir avec les utilisateurs d’Afkar.
Pas de clivage, le site est ouvert à tous, jusque dans les moindres recoins puisque les utilisateurs peuvent aussi accéder à l’agenda et même aux mails envoyés par les membres du collectif. Un seul mot d’ordre, donc, transparence. Mais transparence à outrance… Pourquoi ? Nous avons posé la question.
Reste à savoir si Afkar saura toucher et porter ses idées sur l’ensemble du pays en plus d’une capitale déjà bien connectée, permettant ainsi un échange et une représentativité vraiment démocratique. Réponse dans quelques semaines.